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Rhumatologie

  • Dr Anne BERTRAND
  • Dr Pierre GERMAIN
  • Dr Paul LAMARQUE
  • Dr Déborah FAGANELLO
  • Dr Mathieu LAVIELLE

Consultation

Secrétariat : 05 56 17 50 97
lundi au vendredi : de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h

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Qu’est-ce que la rhumatologie ?

Quand consulter ?

La polyarthrite rhumatoïde

La PPR (Pseudo Polyarthrite Rhizomélique)

La maladie de Horton

La spondylarthrite

L’arthrose

Le mal de dos : lombalgie, lomboradiculalgie

La fibromyalgie

La goutte

L’ostéoporose

Les biothérapie

Les gestes locaux (ponction, infiltration)

Le service de rhumatologie de l’Hôpital Suburbain du Bouscat prend en charge tous les patients atteints d’affections de l’appareil locomoteur.

Il s’investit particulièrement dans la prise en charge des patients atteints de rhumatismes inflammatoires chroniques et dans le domaine de l’ostéoporose avec l’ouverture d’une filière dédiée.

Qu’est-ce que la rhumatologie ?

 

La rhumatologie est une spécialité médicale qui se consacre au diagnostic et au traitement des maladies de l’appareil locomoteur, c’est-à-dire tous les organes qui permettent le mouvement, comme les os, les articulations, la colonne vertébrale, les tendons, les muscles, les nerfs.

Spécialité gériatrie Hôpital du Bouscat
L'hôpital Suburbain du Bouscat propose une filière ostéoporose pluridisciplinaire

Quand consulter un médecin rhumatologue ?

 

Votre médecin traitant vous orientera vers un rhumatologue si vous souffrez de douleurs osseuses, articulaires ou musculaires inexpliquées ou d’une gêne fonctionnelle (mouvement limité, blocage articulaire) ; surtout si les douleurs résistent aux antalgiques, évoluent depuis plusieurs semaines ou si elles reviennent régulièrement.

La rhumatologie ne concerne pas que les douleurs liées au vieillissement des articulations comme l’arthrose. Cette spécialité prend en charge les patients atteints de maladies auto immune comme la spondylarthrite, le rhumatisme psoriasique, la polyarthrite rhumatoïde ; les infections ostéo articulaires ; les pathologies rachidiennes et les pathologies osseuses comme l’ostéoporose…

La polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde (PR) fait partie de la famille des « rhumatismes inflammatoires chroniques » ou « RIC ».

Elle se manifeste par des poussées douloureuses et des gonflements des articulations. C’est un rhumatisme chronique, c’est-à-dire qui dure dans le temps.

Venez consulter à l'Hôpital Suburbain du Bouscat

Qu'est-ce qu'une polyarthrite rhumatoïde (PR) ?

La Polyarthrite Rhumatoïde en 100 questions

La Polyarthrite Rhumatoïde en 100 questions / annexes

La PPR (Pseudo Polyarthrite Rhizomélique)

 

La Pseudo Polyarthrite Rhizomélique (PPR) est un rhumatisme inflammatoire chronique du sujet de plus de 50 ans, qui se manifeste par des douleurs inflammatoires des épaules et/ou des hanches (racine des 4 membres ou atteinte rhizomélique).

Conseils cancer

La maladie de Horton

 

C’est une artérite inflammatoire, c’est-à-dire une inflammation de la paroi des artères avec un tropisme particulier pour les artères temporales qui sont des vaisseaux localisés au niveau de la tempe à la racine des cheveux.

Qui est touché par la maladie de Horton ?

La maladie de Horton touche généralement les personnes de plus de 50 ans, avec un pic de fréquence vers 70-80 ans. Par ailleurs, cette maladie atteint plus souvent les femmes (2/3 des cas). La prévalence est d’environ 1 sur 1000 pour les 60-69 ans et va jusqu’à 1 sur 120 chez les plus de 80 ans.

Quelles sont les causes de la maladie de Horton ?

La cause exacte est inconnue. Il s’agit très probablement d’une maladie auto-immune, c’est-à-dire à un dérèglement du système de défense de notre organisme (le système immunitaire). Normalement, celui-ci ne s’attaque qu’aux éléments « étrangers » (microbes), mais dans le cas d’une maladie auto-immune, il se retourne contre les propres cellules de l’organisme et les attaque comme s’il ne les reconnaissait pas. On ne sait pas encore pour quelle raison les défenses immunitaires se dérèglent, mais plusieurs facteurs (environnementaux, infectieux et génétiques) sont probablement en cause.

Comment se manifeste la maladie de Horton ?

Les symptômes principaux de la maladie sont des maux de tête, une perte de poids, des douleurs, des difficultés lors de la mastication (claudication des mâchoires) et des douleurs du cuir chevelu (le signe du peigne). Il existe parfois de la fièvre. Il y a un risque important de troubles visuels ; le fait de devenir aveugle étant le principal risque de cette maladie en l’absence de traitement spécifique.
La maladie de Horton peut être associé à la pseudo polyarthrite rhizomélique.

Comment diagnostiquer la maladie de Horton ?

Certains signes cliniques énoncés ci-dessus sont évocateurs (difficultés à la mastication, douleurs du cuir chevelu) mais parfois les signes sont moins spécifiques (fièvre, maux de tête). Dans la grande majorité des cas, il existe de l’inflammation sur la prise de sang (accélération de la vitesse de sédimentation et augmentation de la CRP).

On peut aussi s’aider d’examens d’imagerie comme l’échographie des artères temporales (examen indolore utilisant les ultrasons pour mesurer le flux sanguin dans les artères, analyser leurs structures et leurs rétrécissements/occlusions) et le TEP scanner (examen réalisé après l’injection de glucose marqué qui va se fixer sur les cellules les plus actives de l’organisme permettant une cartographie précise des parties du corps où il y a de l’inflammation). Ces examens ont actuellement remplacé la biopsie de l’artère temporale qui n’est pas obligatoire.

Comment se traite la maladie de Horton ?

Il s’agit d’une urgence et le traitement de première intention est la corticothérapie. Le traitement est commencé dès qu’il y a un soupçon de la maladie pour prévenir le risque de cécité. Les symptômes régressent très vite après le début du traitement mais la corticothérapie sera maintenue pendant au moins 18 mois à doses dégressives. En cas de cortico-dépendance (baisse de la cortisone impossible en dessous d’un certain seuil sous peine de voir réapparaitre les symptômes), on peut être amené à introduire un traitement immunosuppresseur, le Tocilizumab (Roactemra), qui s’effectue en injection sous-cutanée hebdomadaire.

La spondylarthrite

Les spondylarthrites constituent un groupe de plusieurs rhumatismes inflammatoires chroniques qui touchent les enthèses, c’est-à-dire les zones d’insertion sur l’os des tendons, des ligaments ou de la capsule articulaire. La maladie peut se manifester par différents signes, qui ne sont pas tous présents ou simultanés. Ces signes peuvent être :

  • des douleurs inflammatoires de la colonne vertébrale (atteintes du squelette dites « axiales »),
  • des douleurs inflammatoires des membres (atteintes du squelette dites « périphériques ») : touchant les grosses articulations (hanches, genoux le plus souvent) et/ou des tendons (tendon d’Achille le plus souvent),
  • des manifestations inflammatoires (dites extra-articulaires) qui ne touchent pas les articulations, mais certains organes, comme l’œil, le tube digestif ou la peau.

Qu'est-ce qu'une spondyloarthrite ?

Spondyloarthrite en 100 questions

Spondyloarthrite en 100 questions / annexes

L’arthrose

L’arthrose est une maladie du cartilage. Elle se manifeste le plus souvent par des douleurs mécaniques et/ou une gêne, lors des mouvements, d’une ou, plus rarement, de plusieurs articulations.

La rhumatologie pour tous

Arthrose en 100 questions

Arthrose en 100 questions / annexes

Exercices recommandés pour l’arthrose

Le mal de dos : lombalgie, lomboradiculalgie

La lombalgie est une douleur ressentie au niveau du bas du dos.

Le « mal de dos » a de nombreux synonymes : lombalgie, lumbago, blocage des reins, tour de reins (bien que l’organe « rein » ne soit pas concerné).

C’est avant tout un problème mécanique ou toutes les structures du dos peuvent être source de douleur (articulation, ligaments, muscles, disques, …). Parfois cette atteinte peut entrainer une irritation du nerf qui se manifeste par une douleur dans le membre inférieur ; on parle alors de lomboradiculalgie (incluant la lombosciatique et la lombocruralgie).

Qu’est-ce qu’une lombalgie / lomboradiculalgie ?

Mal de dos ou Lombalgies en 100 questions

Mal de dos ou Lombalgies en 100 questions / annexes

Je souffre de lombalgie : de quoi s’agit-il et que faire ?

La fibromyalgie

 

La fibromyalgie associe des douleurs chroniques durant des années, une fatigue injustifiée et des troubles du sommeil.

Les consultations de douleurs chroniques améliorent la qualité de vie des patients

La goutte

La goutte est une arthrite microcristalline. Elle est caractérisée par des dépôts de cristaux d’urates intra-articulaires mais aussi dans d’autres tissus et organes (peau et rein), secondaires à une hyper-uricémie chronique.

Qui est touché par la goutte ?

La goutte est plus fréquente chez l’homme de plus de 40 ans. Ces dernières années, on assiste à une augmentation de la prévalence chez les sujets jeunes du fait de l’augmentation de l’obésité et de la consommation de sodas. La goutte touche environ 1% de la population.

Quelles sont les causes de la goutte ?

Il existe des prédispositions génétiques (goutte familiale). On identifie aussi des facteurs de risque tels que l’insuffisance rénale chronique, certains médicaments dont les diurétiques, une alimentation trop riche en purines qui, lorsqu’ils se dégradent, donnent de l’acide urique, l’alcool…

Comment se manifeste une crise de goutte ?

Elle se manifeste par une arthrite, c’est-à-dire un gonflement brutal et douloureux d’une articulation. Le plus souvent, il s’agit d’une ou plusieurs articulations du membre inférieur (gros orteil, pieds, genoux…) mais toutes les articulations peuvent être touchés. Les douleurs surviennent en général la nuit.

Comment diagnostiquer une goutte ?

Parfois le diagnostic est évident sur les symptômes cliniques. Sinon, l’examen de choix est la ponction de liquide articulaire qui permet ensuite de regarder le liquide prélevé au microscope et de voir des cristaux d’acide urique. On peut aussi s’aider de l’échographie qui permet de visualiser les dépôts d’acide urique dans les articulations. Le dosage de l’acide urique dans le sang peut être normal pendant la crise. Souvent, on le contrôle à distance de la crise. Lorsqu’il y a eu plusieurs crises de goutte (qu’on passe sur le versant chronique de la maladie), on peut voir des dépôts d’acide urique au niveau de la peau (c’est ce qu’on appelle un tophus). Les articulations sont aussi susceptibles de s’abimer avec le temps ; votre médecin peut prescrire une radiographie pour le vérifier.

Comment se traite la goutte ?

Il faut bien distinguer le traitement de la crise du traitement de fond.

 Le traitement de la crise permet de faire partir la douleur articulaire. Il associe le repos, le glaçage de l’articulation douloureuse et les antidouleurs. On utilise préférentiellement en l’absence de contre-indication la colchicine, les AINS ou les corticoïdes.

 Le traitement de fond permet d’éviter de faire de nouvelles crises en abaissant le taux d’acide urique en dessous du seuil de précipitation des cristaux dans l’articulation. Il est indiqué dès la première crise de goutte et doit être pris à vie (même en l’absence de douleurs ou de crises). Il s’agit du traitement hypo-uricémiant et on utilise l’allopurinol ou l’adénuric. Il faut être particulièrement vigilant sur le risque de crise de goutte en début de traitement et donc maintenir un traitement préventif des crises jusqu’à atteindre l’objectif fixé avec votre médecin (< à 50 ou 60mg/L selon les cas).

 A toutes ces mesures s’associent quand cela est possible la correction des facteurs de risque (modification de certains médicaments en accord avec le médecin prescripteur) et le régime hypocalorique et hypo-uricémiant.

Les règles hygiéno-diététiques de la goutte
Les mesures hygiéno-diététiques ont un effet modéré pour faire baisser le taux d’acide urique dans le sang. Elles gardent cependant tout leur intérêt en termes de santé globale, étant donné les comorbidités fréquemment associées à la goutte, et le risque cardiovasculaire.

En cas de goutte, il est donc nécessaire :

  • de maigrir progressivement (entre 5 à 15 %) en cas de surpoids ou d’obésité ;
  • de pratiquer un exercice physique régulier, modéré comme la marche, natation, le vélo, en évitant les sports traumatisants pour les articulations, et adapté à l’état de santé ;
  • de diminuer la consommation de boissons alcoolisées :

    – bière, très riche en purines, même lorsqu’elle est sans alcool ;
    – alcools forts.

  • de ne plus consommer de sodas sucrés et de jus de fruits riches en fructose ;
  • d’adopter une alimentation équilibrée et de réduire la consommation de produits riches en purines : viande, abats, poissons, fruits de mer en préférant la viande maigre ;
  • de boire 2 litres d’eau par jour ;
  • de privilégier la consommation de fruits et légumes ;
  • de respecter votre prescription médicale en cas de traitement de la crise et de fond de la goutte.

La filière ostéoporose de l’Hôpital Suburbain du Bouscat

Enjeu de santé publique, la prise en charge de l’ostéoporose peut parfois poser problème. L’ostéoporose est une affection diffuse du squelette, caractérisée par une diminution de la densité des os et des perturbations de leur structure. Les os deviennent poreux donc moins solides. Cette fragilité osseuse entraîne un risque accru de fractures.

Silencieuse, cette maladie est fréquemment détectée lors de la première fracture (la fracture vertébrale, la fracture du col fémoral ou la fracture du poignet sont les plus fréquentes). Dans cette dynamique, l’Hôpital Suburbain du Bouscat vous propose une filière dédiée. Composée de professionnels médicaux et paramédicaux, son but est de dépister et de traiter une ostéoporose fracturaire ou non, dans sa globalité, de façon pluridisciplinaire et d’éliminer une ostéopathie d’une autre nature.

C’est l’objectif de cette demi journée en hospitalisation de jour, durant laquelle l’équipe réalisera une ostéodensitométrie (examen radiologique sans injection de produit, faiblement irradiant et réalisable rapidement).

L’équipe pluridisciplinaire :

  • Médecin rhumatologue
  • Médecin endocrinologue
  • Médecin cardiologue
  • Médecin du sport
  • Masseur-kinésithérapeute
  • Diététicien
  • Psychomotricien
  • Assistante sociale
  • Infirmière

Les modalités :

    Le public visé concerne patients masculins et féminins à risque : fracture préexistante, grand âge, chutes, dénutrition, comorbidités, traitements ostéopéniants, addictions osteopéniantes, problème d’adhésion aux traitements, gestion des séquences thérapeutiques…

    Le patient peut être adressé après une fracture, traitée à domicile, en post-chirurgie, ou après un séjour en soins de suite, mais également en préventif, avant tout évènement fracturaire.

    Après une consultation préalable si nécessaire, ou directement sur une demi-journée, le patient rencontrera des professionnels médicaux et paramédicaux qui aideront dans votre prise en charge : densitométrie osseuse, biologie, panoramique dentaire si besoin, éducation thérapeutique via des conseils diététiques, conseils en activité physique, prévention des chutes…

    Ce bilan vous sera transmis et également remis au patient afin de l’impliquer dans sa prise en charge. Par la suite, un suivi peut être assuré conjointement avec votre médecin traitant pour vérifier l’efficacité du traitement choisi et anticiper les risques de fracture.Notre équipe est disponible pour répondre à vos interrogations éventuelles au 05 56 17 50 97.

    Les biothérapies

    Qu’est-ce qu’une biothérapie ?

    Une biothérapie est une thérapeutique ciblée qui a comme principale caractéristique d’être fabriquée par un organisme vivant.

    On dispose de nombreuses molécules disponibles pour le traitement des rhumatismes inflammatoires avec des mécanismes d’action différents au niveau de la cascade de l’inflammation :

    • Les anti TNF alpha : Etanercept, Adalimumab, Certolizumab, Golimumab et Infliximab.
    • Les inhibiteurs de JAK : Tofacitinib, Baracitinib, Upadacitinib
    • Les inhibiteurs de l’IL6 : Tocilizumab, Sarilumab
    • Anti CD20 : Rituximab
    • Modulation du CTLA4 : Abatacept
    • Inhibiteurs de l’IL17 : Secukinumab, Ixekizumab
    • Inhibiteur de l’IL12, IL23 : Ustekinumab

    La plupart des traitements ci-dessus s’effectuent en injection sous-cutanée à domicile ou en perfusion intraveineuse à l’hôpital. Seuls les inhibiteurs de JAK se prennent en comprimés.

    Qui est traité par biothérapie ?

    Les patients dont le rhumatisme inflammatoire n’est pas contrôlé par le traitement de première ligne.

    Que faire en cas de fièvre, voyage, chirurgie… ?

    Une application pour vous aider au quotidien dans la gestion de votre traitement de fond (méthotrexate et biothérapie).

    Application HIBOOT

    Les gestes locaux (ponction, infiltration)

    On peut traiter une articulation malade par :

    • Les ponctions articulaires évacuatrices et les infiltrations,
    • Les synoviorthèses,
    • Les synovectomies arthroscopiques,
    • La chirurgie (réparatrice, stabilisatrice ou prothèse).

    On privilégiera le traitement local d’une articulation si la maladie générale est bien contrôlée par ailleurs, ou si la douleur ou le handicap lié à l’articulation malade sont très importants.

    Autres traitements et informations :

    • infiltration péridurale et hiatus sacro-coccygien,
    • infiltration interapophysaire,
    • fiche d’information générale sur les infiltrations…

    Besoin de plus de renseignements ? N’hésitez pas à nous contacter :

     

    Rhumatologie
    Secrétariat : Tél. 05 56 17 50 97

    Filière ostéoporose pluridisciplinaire
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    L’Hôpital Suburbain du Bouscat, Établissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC), est une association loi 1901, reconnue Association d’Utilité Publique depuis le 11 avril 1923.

    Vous pouvez matérialiser votre attachement aux valeurs humaines / humanistes et à l’accès aux soins de qualité pour tous, et participer au projet de l’Association qui place l’être humain au cœur de ses préoccupations.

    Ainsi, l’établissement est habilité à recevoir des dons manuels (financier ou en nature), des donations ou des legs. Quel qu’en soit le montant, il contribuera à financer nos nouveaux projets, améliorer les conditions d’accueil et de prise en charge optimales des patients, développer l’innovation médicale, moderniser l’établissement, améliorer les conditions d’exercice des professionnels, poursuivre les engagements en matière de développement durable.

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